Donner autant à tant de monde,
grâce à vous c’est possible
dès aujourd’hui.
Le compte est bon > Prendre une douche plutôt qu’un bain, c’est diviser au minimum par trois sa consommation d’eau : ce calcul est valable si le robinet est coupé pendant que l’on se savonne et que l’on ne prolonge pas inconsidérément le plaisir de la douche.
Une douche de 5 minutes consomme 60 à 80 litres d’eau et un bain 150 à 200 litres.
Réduire le volume > En mettant par exemple une bouteille lestée dans le réservoir des toilettes, cela diminue d’autant le volume et donc la consommation d’eau.
Adopter le double débit > Des chasses d’eau économiques proposent aujourd’hui deux types de débit : 3 ou 6 litres d’eau, contre 7 litres pour une chasse d’eau récente.
Récupérer l’eau > Avant de construire son logement, il est intéressant d’étudier la possibilité d’un second réseau d’eau non potable, par exemple raccordé à un réservoir alimenté par de l’eau de pluie.
Economiser l'eau > À la campagne, les toilettes sèches peuvent être une alternative pour économiser l’eau. Renseignez-vous !
En France, une personne utilise en moyenne 30 litres d’eau pour ses WC par jour, soit 20 % de sa consommation quotidienne.
Rester vigilant > Evitez une utilisation abusive des produits anti-bactériens, utilisés pour désinfecter les WC : ils perturbent aussi les stations d’épuration, qui se servent des bactéries pour dépolluer les eaux usées. En revanche, le papier toilette recyclé, c’est bon pour l’environnement !
Un geste lourd de conséquences > Tampons hygiéniques, couches, médicaments, piles, peintures, solvants, détergents... la cuvette des WC n’est pas une poubelle. Tous ces éléments altèrent le bon fonctionnement des stations d’épuration. Mal éliminés, ils se retrouvent en milieu naturel et dégradent l’environnement.
Une double action > Économiser l’eau chaude, c’est économiser à la fois l’eau et l’énergie nécessaire à son chauffage. Il existe aujourd’hui des dispositifs simples, à poser sur les robinets ou les flexibles de douche, qui limitent sensiblement la consommation, tout en conservant la même efficacité d’utilisation.
La bonne position > Laisser de préférence les robinets mitigeurs en position “froid” pour éviter de demander de l'eau chaude ou tiède alors qu'on a besoin, la plupart du temps, d'eau froide.
Réduction du débit d’eau par équipement :
• robinet mitigeur : 10%
• aérateur (ou mousseur) : 50%
• pomme de douche “éco”: 50 %
Une attitude responsable > Un robinet qui coule sans raison doit déclencher un réflexe de fermeture immédiat. La quantité d’eau économisée dans ce cas est énorme. Dans cet esprit, lorsque l’on se brosse les dents, il est préférable de se rincer avec un verre à dents (10 000 litres d’eau gaspillés par an). De même, il est facile de remplir un peu le lavabo pour nettoyer son rasoir.
Si on laisse couler l’eau pendant un brossage de dents ou un rasage, c'est 18 litres d'eau gaspillés.
Anticiper pendant la toilette > Les cheveux et autres matières organiques sont une source de bouchons dans les canalisations. Après la douche, le bain ou la coiffure, il suffit de les récupérer et de les jeter dans la poubelle, afin d’éviter ces désagréments.
Adopter le bon programme > Faites tourner votre lave-linge quand il est à pleine charge. Une machine remplie est plus économique que 2 lavages en touche "éco" ou "demi-charge".
Laver à basse température > Laver à la température la plus basse possible est recommandé. Un lavage à 30 °C consomme 3 fois moins d'énergie qu’un cycle à 90°C, et en plus, il préserve le linge. Certaines lessives performantes permettent même de laver à froid !
Éviter le prélavage > Cette opération est rarement nécessaire avec les textiles et les machines modernes et cela permet d'économiser de l'eau et de l'énergie.
Adapter l'essorage > Si vous devez utiliser un sèche-linge, essorez auparavant au maximum pour réduire le temps de séchage
Adopter les auxiliaires de lavage > Constituées de caoutchouc recyclé, ces boules, glissées avec le linge dans le tambour de l’appareil, sont très efficaces : 30 % d’eau et 20 % de lessive en moins.
Bien investir > Lors de l’achat d’un lave-linge, choisir de préférence un modèle de classe A ou A+ (en savoir plus en se reportant à la rubrique 'Achats' )
Chaque foyer français consacre 12 % de sa consommation d’eau au lavage du linge.
Profiter du soleil et du vent > La corde à linge ou l’étendoir sont des moyens naturels pour faire sécher le linge. Le sèche-linge électrique dépense environ 250 kWh par an, soit 15 % de la consommation annuelle d’électricité (hors chauffage).
Sur un an, un sèche-linge consomme environ 350 kWh, soit 2 fois plus d'énergie qu'un lave-linge en moyenne.
Faire de la prévention > Un évier ou un lavabo bouché fait partie des petits tracas du quotidien. Pour en limiter la fréquence, il faut penser à vider le contenu des assiettes et des plats dans la poubelle avant de faire la vaisselle. On peut aussi équiper son évier d’une crépine : placée sur l’orifice, elle retient les déchets avant qu’ils ne tombent dans la canalisation.
Mettre la main à la pâte > En cas d’obstruction, l’eau bouillante, la ventouse, la spirale métallique ou la pompe à vide sont des moyens recommandés, contrairement aux produits chimiques polluants. Avec un peu d’entraînement, il est facile de démonter le siphon pour le nettoyer. Si l’usage d’un déboucheur liquide est nécessaire, éviter le surdosage et choisir de préférence un produit totalement biodégradable et non toxique.
En France, les stations d'épuration décontaminent 54% des eaux usées.
80 % des pollutions marines sont d'origine terrestre.
Prendre garde à la chaleur > Les instruments de cuisson (four, cuisinière...) sont des équipements qui doivent être placés à l’écart du réfrigérateur. De même, celui-ci ne doit pas accueillir des aliments chauds qui lui demandent une énergie supplémentaire pour produire du froid et augmente donc sa consommation.
Contrôler la température > La conservation des aliments nécessite une température comprise entre 2 °C (étages du haut), et 4 °C (étages du bas). Dans un congélateur, elle doit être de -18 °C. En plaçant un thermomètre dans le bac à légumes du réfrigérateur (température la plus élevée), il est facile de réguler la dépense d’électricité.
Dégivrer régulièrement > Dès que la couche de givre dépasse 2 à 3 mm, il est impératif de dégivrer vos appareils pour qu’ils consomment moins. 1/2 cm de givre augmente jusqu'à 30 % la consommation des réfrigérateurs et congélateurs.
Nettoyer la grille > La grille située à l’arrière du réfrigérateur est chargée d’expulser la chaleur extraite de l’appareil. Elle doit être vérifiée et nettoyée deux fois par an environ.
Vérifier l’étanchéité des portes > L’apparition rapide du givre, c’est souvent des joints fatigués. Pour le vérifier, il suffit de fermer la porte du réfrigérateur sur une feuille de papier : si on la retire facilement, les joints sont à changer.
Hausse de consommation d’électricité : +5 % à chaque degré supplémentaire et +30 % au delà de 3 mm de givre
Un peu de méthode > Faire la vaisselle à la main ne doit pas être synonyme de gaspillage: ne pas laisser couler l'eau (remplir un bac de lavage et un de rinçage), utiliser juste ce qu'il faut de nettoyant, écolabellisé bien sûr, et aller du moins sale vers le plus sale, telle est la bonne méthode.
Les bienfaits du lave-vaisselle > Faire sa vaisselle à la machine peut être plus économique en eau et en électricité si le lave-vaisselle est peu gourmand en énergie et utilisé de façon optimale. Bien sûr, il ne faut pas rincer la vaisselle avant de la mettre dans l’appareil, car cela consomme de l’eau inutilement.
Le “bon” lave-vaisselle :
À utiliser avec modération > Les aliments se décongèlent au réfrigérateur, sans l’aide du micro-ondes : c’est moins rapide mais cela ne consomme aucune énergie. La cuisson des plats au micro-ondes, et surtout ceux contenant beaucoup d’eau, comme les légumes, est à éviter. Le micro-ondes est idéal pour réchauffer les aliments.
Un four à micro-ondes consomme moins d’énergie pour réchauffer un plat qu’un four traditionnel.
Chasser les courants d’air > Ouvrir la porte d’un four pendant qu’il fonctionne gaspille beaucoup de chaleur : pour évaluer la cuisson de votre préparation, il vaut mieux se servir de l’éclairage de contrôle.
Profiter de la chaleur > Dans le cas d’un four à pyrolyse, le nettoyage doit être programmé dans la foulée d’une cuisson, pour bénéficier de la chaleur accumulée.
Un éclairage gratuit > La lumière naturelle est à consommer sans modération: la proximité d’une fenêtre est idéale pour installer le coin à vivre, un fauteuil ou un bureau. Attention aux ombres portées sur le plan de travail, le bureau doit être placé perpendiculairement à la fenêtre. Le mieux est l’éclairage naturel par le plafond (vasistas), il est uniforme et encore plus efficace. De même, plus les murs de la pièce sont clairs, plus ils réfléchissent la lumière: un moyen simple d’y voir clair.
Acquérir un bon réflexe > Pourquoi laisser allumée une pièce vide? Voilà encore un gaspillage d’énergie qui peut être évité facilement. N’oublions pas que 3 ampoules de 75 W qui restent allumées une soirée consomment autant qu’une lessive à 60°C.
Une dépense inutile > Chaîne hi-fi, lecteur DVD, télévision, ordinateur... les appareils électriques restent souvent branchés 24h sur 24. Les veilles consomment 300 à 500 kWh par ménage et par an, soit la consommation d'un réfrigérateur sur la même période !
Couper toutes les veilles est facile : il suffit de brancher les appareils concernés sur une multiprise à interrupteur.
Une habitude saine > 19°C suffisent dans le séjour. Un degré de moins c'est peut- être un pull en plus, mais moins de consommation. N'oublions pas que le chauffage de nos appartements représente 81% des émissions de CO2 des logements.Passer de 20°C à 19°C représente 7% de consommation d’énergie en moins.
Dormir mieux > Une température de 16 ou 17 °C dans la chambre, c’est meilleur pour le sommeil et pour les économies d’énergie. De même, il est recommandé de fermer les rideaux et les volets durant la nuit pour éviter les grosses pertes de chaleur (30 à 50 % selon le vitrage).
1 degré de moins pour tous, économiserait l’équivalent de la consommation électrique annuelle de Marseille.
Une question de bon sens > Baisser le chauffage lorsque l’on sort quelques heures doit devenir une évidence. Si c’est pour plusieurs jours, il faut prendre soin de le mettre hors-gel (8 °C en général).
Un équipement adapté > Le thermostat d’ambiance, installé dans une pièce à vivre (séjour, salle à manger), permet de maintenir un logement à température constante. Le plus performant est sans aucun doute le thermostat d’ambiance programmable ou thermostat à horloge : il permet de programmer une baisse de température du chauffage quand les besoins sont moins importants (la nuit ou en cas d’absence).
Une chaleur gratuite > Les robinets thermostatiques sont un bon complément. Dans le cas d’une installation comportant des radiateurs à eau chaude, ils tiennent compte des apports de chaleur “gratuits” (ensoleillement, appareil de cuisson...). Ils doivent être placés dans une autre pièce que le thermostat d’ambiance.
L'installation d'un système de programmation et de régulation permet de faire des économies de 10 à 25% sur le chauffage.
Prendre en compte la sécurité > Comme son nom l’indique, un chauffage d’appoint au fuel ou au gaz doit être utilisé de façon intermittente, et jamais la nuit. Le danger provient des appareils mal entretenus, qui dégagent des produits de combustion toxiques pour l’organisme. L’un d’eux, le monoxyde de carbone, inodore, provoque l’asphyxie par inhalation.Si vous êtes amené à utiliser un chauffage d’appoint, c’est sans doute que votre logement a des problèmes d’isolation ou de chauffage : faites établir un diagnostic de votre installation.
Avant toute mise en route d’un appareil, vérifier son état (nettoyage, ramonage) et les aérations de la pièce.
Faire de l’ombre > Dans tous les cas, le plus efficace est l’installation de protections solaires (volets, persiennes, stores, pare-soleil,...). Si vous avez un jardin, pensez à planter des végétaux à feuilles caduques, qui vous protègeront des rayons du soleil en été et laisseront passer la lumière et la chaleur en hiver.
Empêcher l'air chaud d'entrer > Une pièce se réchauffe excessivement quand la chaleur extérieure pénètre par les murs, les toits, les vitrages ou par infiltration d’air. Le remède tient dans une bonne isolation du logement : double vitrage, isolants sous toitures, des murs, du sol... Dans la journée, maintenez fermés portes, volets et fenêtres. Le soir venu, profitez de la fraîcheur extérieure et aérez votre logement.
Rafraîchir en ventilant > Un ventilateur ne fait pas baisser la température dans une pièce, mais il permet de mieux la supporter.
Rafraîchir par évaporation d'eau > L’évaporation de l’eau fraîche dans un air sec permet aussi de lutter contre la chaleur. Vous pouvez utiliser des appareils spécialement conçus, comme les brumisateurs. Mais avec un peu d’astuce vous arrivez à des résultats aussi satisfaisants. Il suffit d'humidifier le carrelage ou de remplir une bassine d’eau, d’y tremper une serviette, de la poser sur un séchoir ou le dossier d’une chaise en laissant la partie inférieure tremper dans l’eau. Placez ensuite un ventilateur devant et le tour est joué !
Si malgré tout, je dois climatiser > Je choisis un climatiseur performant et de qualité. L'appareil doit être de classe énergétique A ou B pour satisfaire à la réglementation thermique si sa puissance est inférieure à 12 kW. Pour les autres, choisissez-le avec un coefficient de performance le plus élevé possible (c'est-à-dire >3).
Se passer de climatisation, c’est éviter l’émission de gaz à effet de serre et l’augmentation conséquente de sa facture d’électricité.
Retrouver un air pur > Nous passons la plus grande partie de notre temps à l'intérieur : à la maison, au bureau, dans les magasins... Or, l'air que nous respirons est 5 à 10 fois plus pollué que l'air extérieur. Nos activités, nos équipements dégagent de l'humidité et des polluants à l'intérieur de notre logement : faire la cuisine, bricoler, les colles, vernis, peinture et autres matériaux, parfums d'intérieurs, acariens... autant de risques pour la santé. Sans parler du tabac, qui est la première cause de pollution dans la maison.
La meilleure façon de rétablir à l'intérieur la qualité de l'air, c'est d'aérer toutes les pièces : 5 minutes suffisent. Si votre logement n'est pas suffisamment aéré, les polluants s'accumulent, en particulier l'hiver, lorsque l'on ouvre moins souvent les fenêtres.
Cette pollution peut avoir des effets sur la santé : allergies, irritation du nez, des yeux, des voies respiratoires, maux de tête, vertiges, insomnies, asthme voire intoxication. Les femmes enceintes, les enfants en bas âge et les personnes âgées sont plus exposés à la pollution de l'air intérieur.
La ventilation mécanique contrôlée > Bien connue par son abréviation, la VMC est indispensable dans une maison bien isolée pour ventiler un logement, sous réserve qu'elle soit régulièrement et correctement entretenue.
Un air de qualité > Pour préserver la salubrité de l’atmosphère d’une chambre, il est important de se plier à quelques règles simples :
- Eliminez régulièrement les poussières, particulièrement sur la moquette, en passant l'aspirateur et changez régulièrement les sacs. Vérifiez aussi l'état des filtres. Les aspirateurs équipés de filtre HEPA (Haute Efficacité pour les Particules Aériennes) sont les plus efficaces pour retenir les poussières.
- Tapez les tapis à l'extérieur, ce qui est également un bon moyen de lutter contre les acariens.
- Nettoyez fréquemment les draps, couettes et oreillers et aérez régulièrement la literie.
- Limitez la circulation des animaux dans les pièces.
Une ampoule sans poussière, c’est 40 % de luminosité supplémentaire.
Vérifier le débit > Un bon moyen pour traquer les fuites d’eau, c’est de relever le compteur le soir avant de se coucher et de faire la même chose le matin, sans avoir ouvert ni robinet ni appareil ménager : si les chiffres sont identiques, tout va bien. Sinon, il y a une fuite.
Retrousser ses manches > La plupart du temps, il s’agit d’un simple joint défectueux : cela vaut la peine d’apprendre à le changer.
Un robinet qui goutte = jusqu'à 300 litres
Une chasse d'eau qui coule = jusqu'à 500 litres
Une personne consomme en moyenne 150 litres d'eau par jour
(Source : Agences de l'eau)
Une mesure de sécurité > Pour garantir la sécurité, la fiabilité et la longévité d'une chaudière, il est obligatoire de la faire entretenir tous les ans. Pour cela, vous pouvez souscrire un contrat d'entretien avec une société. Il est également conseillé de purger régulièrement les radiateurs afin qu'ils conservent toute leur efficacité.
Un entretien régulier, c’est une chaudière qui dure 2 à 3 fois plus longtemps.
Bénéficier des progrès de la technique > Avec les nouvelles chaudières "basse température" ou "à condensation", les économies d’énergie peuvent représenter de 12 à 20 % par rapport à une chaudière standard moderne. De plus, le matériel récent produit moins de gaz à effet de serre. Les chaudières équipées d'une ventouse n'ont plus besoin de conduit de cheminée et améliorent leur consommation de 4 à 5%.
Remplacer au bout de 15 ans une chaudière, c’est réduire d’au moins 15 % l’énergie consommée.
Les appareils à combustion (gaz, pétrole, charbon, bois ...) pour le chauffage, la production d'eau chaude, la cuisson ou la décoration (appareils décoratifs à l'éthanol) dégagent un gaz toxique appelé monoxyde de carbone quand ils sont mal réglés et/ou fonctionnent dans une atmosphère confinée, appauvrie en oxygène : ce gaz est inodore, invisible et mortel parfois en moins d'une heure.
- Vérifier l'état de l'appareil avant toute mise en route et l'entretenir régulièrement.
- Ne jamais utiliser en continu des appareils de chauffage d'appoint.
- Respecter les consignes d'utilisation indiquées dans le mode d'emploi de l'appareil (chaudière, chauffe-eau, ...).
- Ne jamais boucher les entrées et sorties d'air.
Retenir la chaleur > Empêcher la chaleur de s’échapper est une façon économique de se chauffer: l’isolation d’un logement réalisée avec soin peut réduire la consommation de chauffage par 3 ou 4. Les joints d’étanchéité des fenêtres, les rideaux et les tentures sont aussi très utiles pour bien isoler.
Attention : calfeutrer est une bonne chose si la ventilation est efficace. Sinon, des problèmes d’humidité et de qualité de l’air peuvent surgir.
Protéger les installations > Le ballon d’eau chaude et les canalisations sanitaires font partie des éléments à isoler thermiquement, surtout s’ils sont situés dans un local non chauffé.
Économies d’énergie liées à l’isolation :
Privilégier le naturel > Les énergies renouvelables préservent les énergies fossiles et participent à la lutte contre l’effet de serre : le bois, le solaire, l’éolien, la géothermie peuvent être des solutions idéales pour chauffer une maison.
Dans les Espaces Info-Energie, soutenus par l'ADEME, des conseillers informent gratuitement les particuliers sur toutes les questions relatives à l'efficacité énergétique et à la protection de l'environnement : quel type d'équipement choisir ? Quelles sont les aides accordées et les déductions fiscales en vigueur ?
Le bois-énergie > En brûlant, le bois dégage du CO2 mais le bilan carbone est considéré comme nul car ce CO2 avait auparavant été prélevé dans l’atmosphère par l’arbre, durant sa croissance.
Consommer de l'électricité verte > Depuis juillet 2007, le particulier a en France la possibilité de choisir son fournisseur d’électricité. Les producteurs diversifient leur offre et vous pouvez ainsi opter pour une électricité d’origine renouvelable, dotée de certificats d’origine garantie.
L’avantage du solaire > Le chauffe-eau solaire est une solution souvent très intéressante : il couvre en moyenne 50 à 70% des besoins selon l'emplacement des capteurs et de la région, voire 100% à certaines périodes. Il se rentabilise facilement et ne rejette pas dans l'atmosphère le moindre gramme de CO2.
Les appareils de chauffage labellisés “Flamme Verte” sont contrôlés et classés en fonction des polluants émis et de leur rendement.
Pour vos poêles et inserts, préférez un bois local, sec, labellisé (NF, DIN...) qui en garantit la qualité, et/ou portant un label de gestion durable (PEFC ou FSC).
Deux repères utiles dans le choix de son logement > Après l’électroménager et les voitures, les logements ont aussi leur étiquette énergie. Depuis le 01/11/2006, le diagnostic de performance énergétique (DPE) portant sur le chauffage, la production d’eau chaude sanitaire et le refroidissement d'un bien doit être fourni par le vendeur et, depuis le 01/07/2007, il est exigé pour tout nouveau contrat de location.
La lettre A indique les logements les moins gourmands en énergie. Une autre étiquette signale la traduction en émission de gaz à effet de serre. L'affichage de la classe énergie est obligatoire dans les annonces immobilières.Les travaux de rénovation énergétique permettent de réaliser en moyenne 637€ par an d’économies (Source : quelleenergie.fr)
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